Dans une récente entrevue accordée au Financial Times, le nouveau Chief Executive Officer (CEO) de Party Gaming Jim Ryan, a annoncé ses plans ambitieux pour la compagnie.
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La récente nouvelle de décembre concernant le CEO fondateur de Party Gaming, Anurag Dikshit et le Département de la Justice américaine, est à nouveau sous les projecteurs. Maintenant, dans une récente entrevue accordée au Financial Times, le nouveau Chief Executive Officer (CEO) Jim Ryan, a annoncé ses plans ambitieux pour la compagnie.
L'article écrit par Roger Blitz nous informe que les dernières années ont été difficiles pour l'ancien leader du poker en ligne. Après son offre publique au London Stock Exchange en 2005, Party Gaming a vu sa valeur s'établir à 5 milliards de livres sterling. Après que les États-Unis aient passé le Unlawful Internet Gambling Enforcement Act (UIGEA) en 2006 et la décision subséquente de leur CEO Mitch Garber de se retirer du marché, Party Gaming n'était plus évalué qu'à 1 milliard de livres sterling. Cependant, comme Blitz l'a mentionné, il pourrait y avoir de la lumière au bout de ce qu'il appelle « le long tunnel sombre » pour la compagnie.
La lumière à laquelle se réfère Blitz est la décision de mi-décembre par Dikshit de succomber aux pressions du Département de la Justice américain et de plaider coupable aux accusations de violation au Wire Act de 1961. En admettant sa culpabilité, Dikshit aura à payer la somme de 300 millions et pourrait faire face à 2 années de prison, bien que cette sentence ne pourrait être effective qu'à partir de 2010. Il continue à assister le gouvernement américain dans ses investigations sur le monde du jeu en ligne.
Dans son article, Ryan mentionne que Party Gaming est présentement en discussion avec le U.S. Department of Justice concernant la responsabilité de la compagnie, sans vouloir pour autant entrer dans les détails. Cet article mentionne que l'action de Party Gaming au London Stock Exchange a gagné 200 pences chacune et il y a une entente qui pourrait surgir avec le gouvernement américain ce mois-ci. Les actions de Party Gaming peuvent être retrouvées sous le symbole "PRTY."
Lorsqu'il est questionné sur l'avenir de la compagnie, Ryan est optimiste quant aux aptitudes tant au niveau du poker en ligne qu'au niveau du jeu en ligne en général de Party Gaming. « C'est un marathon et non un sprint » nous apprend-t-il. Ryan a déjà affirmé dans un article du Financial Times : « Nous voulons faire le plus de profits possible chaque trimestre, mais le marché est devenu de plus en plus compétitif et nous devons savoir exactement où nous voulons aller. Nous n'avons pas trop ralenti, mais nous devons garder les yeux vers le futur. »
Le plan pour les trois prochaines années que Ryan a mis sur pied pour Party Gaming est ce qu'il croit que toutes les compagnies de jeux en ligne veulent faire, mais que Party Gaming a déjà fait. Une citation tirée du Financial Times nous apprend que depuis la perte du marché américain, sa compagnie s'est spécialisée dans tous les aspects du jeu en ligne y compris poker, casino, mises sportives, bingo et backgammon. « Nous offrons différents produits avec une seule plateforme de jeu » explique Ryan dans l'article de Blitz. « Un seul compte, un seul dépôt, c'est un one stop. C'est l'objectif de bien de nos compétiteurs et nous l'avons déjà établi. »
Ryan mentionne aussi qu'il voit le jour où le poker en ligne sera bien différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Party Gaming se concentre sur le poker en ligne et Ryan prédit que d'ici quelques années, il ne restera plus que 5 salles de poker. Party Gaming est aujourd'hui classé 4e dans ce monde et c'est ce qui fait mal à Ryan. Il termine en ajoutant : « Nous devons reprendre la tête dans ce domaine afin d'être à nouveau les leaders comme autrefois.»
L'article écrit par Roger Blitz nous informe que les dernières années ont été difficiles pour l'ancien leader du poker en ligne. Après son offre publique au London Stock Exchange en 2005, Party Gaming a vu sa valeur s'établir à 5 milliards de livres sterling. Après que les États-Unis aient passé le Unlawful Internet Gambling Enforcement Act (UIGEA) en 2006 et la décision subséquente de leur CEO Mitch Garber de se retirer du marché, Party Gaming n'était plus évalué qu'à 1 milliard de livres sterling. Cependant, comme Blitz l'a mentionné, il pourrait y avoir de la lumière au bout de ce qu'il appelle « le long tunnel sombre » pour la compagnie.
La lumière à laquelle se réfère Blitz est la décision de mi-décembre par Dikshit de succomber aux pressions du Département de la Justice américain et de plaider coupable aux accusations de violation au Wire Act de 1961. En admettant sa culpabilité, Dikshit aura à payer la somme de 300 millions et pourrait faire face à 2 années de prison, bien que cette sentence ne pourrait être effective qu'à partir de 2010. Il continue à assister le gouvernement américain dans ses investigations sur le monde du jeu en ligne.
Dans son article, Ryan mentionne que Party Gaming est présentement en discussion avec le U.S. Department of Justice concernant la responsabilité de la compagnie, sans vouloir pour autant entrer dans les détails. Cet article mentionne que l'action de Party Gaming au London Stock Exchange a gagné 200 pences chacune et il y a une entente qui pourrait surgir avec le gouvernement américain ce mois-ci. Les actions de Party Gaming peuvent être retrouvées sous le symbole "PRTY."
Lorsqu'il est questionné sur l'avenir de la compagnie, Ryan est optimiste quant aux aptitudes tant au niveau du poker en ligne qu'au niveau du jeu en ligne en général de Party Gaming. « C'est un marathon et non un sprint » nous apprend-t-il. Ryan a déjà affirmé dans un article du Financial Times : « Nous voulons faire le plus de profits possible chaque trimestre, mais le marché est devenu de plus en plus compétitif et nous devons savoir exactement où nous voulons aller. Nous n'avons pas trop ralenti, mais nous devons garder les yeux vers le futur. »
Le plan pour les trois prochaines années que Ryan a mis sur pied pour Party Gaming est ce qu'il croit que toutes les compagnies de jeux en ligne veulent faire, mais que Party Gaming a déjà fait. Une citation tirée du Financial Times nous apprend que depuis la perte du marché américain, sa compagnie s'est spécialisée dans tous les aspects du jeu en ligne y compris poker, casino, mises sportives, bingo et backgammon. « Nous offrons différents produits avec une seule plateforme de jeu » explique Ryan dans l'article de Blitz. « Un seul compte, un seul dépôt, c'est un one stop. C'est l'objectif de bien de nos compétiteurs et nous l'avons déjà établi. »
Ryan mentionne aussi qu'il voit le jour où le poker en ligne sera bien différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Party Gaming se concentre sur le poker en ligne et Ryan prédit que d'ici quelques années, il ne restera plus que 5 salles de poker. Party Gaming est aujourd'hui classé 4e dans ce monde et c'est ce qui fait mal à Ryan. Il termine en ajoutant : « Nous devons reprendre la tête dans ce domaine afin d'être à nouveau les leaders comme autrefois.»
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